Le Personnage :

Nom: Taishiji
Prénom: Toruno
Surnom: Le stratège Capricieux.

Sexe: Masculin.
Age :22 ans.

Race: Humain.
Camp: Marine.
Métier: Forgeron

Description physique :

Toruno est un jeune homme tout à fait normal,ne présentant aucune particularité physique lui permettant de se démarquer.Il mesure un mètre soixante-dix,mais en parait bien moins la plupart du temps en raison de son habitude de se tenir les épaules courbé,comme découragé en permanence.Sa stature n'est pas bien imposante et il doit peser dans les quatre-vingts kilos,mais toute cette masse musculaire semble se loger dans son ventre plutôt que dans ses bras.Son estomac proéminent est déplacé sur une personne aussi jeunes,et possédant des membres relativement fins.D'ailleurs,ses longs bras bien trop fuselés pour un adolescent de son sexe constituent un sujet de gêne pour lui.Pour contrarier l'harmonie du prolongement de ses membres supérieur,ses mains sont grossières et larges, et quant à elles tout à fait masculines.Un observateur attentif serait a même de deviner que la légère rougeur présente sur ses doigts et dut au fait qu'il se les ronges depuis son plus jeune âge.
Sa tête ronde est bien posé sur ses épaules larges,mais voutées.De loin,il aurait le physique d'un soldat sur la retraite ou encore d'un guerrier s'était un peu laisser allé.Son visage est donc sphérique,sous ses cheveux chatains foncés, et coupés relativement courts.Loin de leur donné du volume,il sont plaqué sur le haut de son crâne comme une calotte,laissant ainsi quelques mèche lui retomber sur le front.Ils luisent,non parce qu'ils sont soyeux,mais à cause d'une fine couche de gras.Ce n'est pas une question d'hygiène,mais cela dépend de la nature de ses cheveux,souvent coiffés dans ce simple style presque militaire,qui consiste a raser une bonne partie de la nuque.

Son visage,de son propre aveux,est d'un style grossier sinon simple.La beauté de sa peau ne se trouve vraiment pas rehaussée par les zones grêlées et la vilaines barbe de trois jours,clairsemée,qui la parcourent.Mais le visage est indubitablement symétrique,habité d'un calme inébranlable.Ce sont ses doigts qui se tordent et ses pieds qui trépignent quand il est sujet à la pression ou un dilemne.Ses lèvres,sa bouche respectablement petites ne se meuvent pas beaucoup,même quand il prend la parole,encore moins dans le cadre d'un sourire.Sinon,elle dévoilerait des dents parfaitement proportionnées et blanches.Mais pour ternir cet éclats,comme pour le ramener dans le carcan du physique "moyen",on y verrait aussi une langue légèrement blanchâtre sur le dessus.Son nez droit est si commun qu'il ne mérite pas outre mesure de qualificatif:il est banale.
Ses yeux quelque peux bridés,profondément cerclés dans ses orbites se trouvent sous des arcades sourcilières proéminentes.Ils sont d'une couleur nuancée,située entre le noir est le marron foncé.D'un autre coté,c e sont eux les vrais indicateurs de son état d'esprit.C'est une particularité intéressante,mais Toruno est vraiment doué pour imprimer des sentiments dans ses yeux,et pour exprimer ce qu'ils ressent par leur biais.Leur coloration lui donne un air froid,voir calculateur pour certains.Pour ce qui est de sa tenue vestimentaire,il privilégie les vêtement simple,passe-partout pour autrui,alors qu'il qualifie son style de classique.Ses teintes de prédilection sont le gris,le marron foncé ou encore le beige.Se l'imaginer avec un pantalon de cuir brun,un gilet de soie grise et une chemise blanche vous donne une bonne image de la réalité.Son intérêt ne se porte pas non plus sur les pièce trop ostentatoire ou large,comme les capes ou encore les larges manteaux tombants en dessous de la taille.

Description morale :

Si son physique de jeune dernier ne le laisse pas présumer aisément,Taishiji est un personnage tout en nuances et paradoxes.Il est l'incarnation du fameux proverbes "c'est l'occasion qui fait le larron".Premièrement,il est investit d'un potentiel certains pour la réflexion et la stratégie.Curieux de tous ce qui concerne la culture,il souffre néanmoins d'un défaut handicapant qui lui interdit de se fixer sur un seul sujet bien longtemps,ou encore de terminer ce qu'il commence.Se montrant assez informé sur une montagne de thème,il ne se révélera complet est génial dans aucun.
On peut le qualifier sans trop se tromper de "touche-à-tout" se canalisant peu assidument sur la même voie.Foncièrement égoïste et opportuniste,il fait preuve une fois de plus de ce caractère paradoxal en démontrant un code de conduite et un sens de l'honneur très rigide.Sa perception de la justice est personnelle,mais inébranlable.Voici ce qui peut l'emmenait à passer une année de sa vie a se venger d'une amie ayant fais preuve de retard lors un rendez-vous,ou encore à sacrifiez sa vie pour une personne qu'il vient de rencontrer,mais pour qui il à de l'affection.Il se classe dans la catégorie des anti-héros légers,ou pourrions nous dires des sympathique salaud,parfois peu fiable,parfois d'une noblesse admirable.Il privilégie entre tout la notion de confiance.Ainsi il ne violera jamais une confiance qui lui à était accorder.

Intransigeant à ce sujet,il connait les pires accès de rancune s'il considère qu'on l'a trahit.Foncièrement autodidacte,il se construit sa perception de la morale avec ses propres axiomes.Il est ainsi persuadé que les liens de sang ne doit pas inciter à un amour particulier pour sa famille,que le mensonge envers un ennemie n'en est pas un,ou bien que certaines vie en valent plus que d'autres.C'est une personne difficile d'accès,s'ouvrant peu,et c'est la cause du peu d'estime qu'on lui concède lors du premier contact.C'est aussi la cause de la grande valeurs qu'il accorde a l'amitié,tout en refusant tout de même de s'y livrait totalement.D'un tout autre registre,il accordera un grand respect à celui qu'il reconnait comme supérieur face a un souverain mépris pour les plus faibles.

C'est donc un personnage dont l'orientation le montre clairement comme introvertis.Très critique,il préfère se mettre lui même dans une situation de solitude plutôt que de côtoyer des personnes qu'il trouve stupides,ou même ne lui plaisant simplement pas.D'ailleurs un autre de ses défauts majeurs et d'accorder une grande importance à l'impression qu'il a des gens et des choses dés le premier coup d'oeil.Ont peut dire clairement qu'il inspire une bonne dose d'antipathie à ses vis-à-vis.Lé défaut qui le caractérise est la rancune,qui peut passer des nuits a lui donner des aigreurs aux ventres,qui dans les pires moment lui obscurcit son jugement.Cela l'oblige aussi en quelques sortes à vivre avec le passé et ses affront,même s'il souhaite ardemment qu'il n'en soit rien.Sa principale qualité reste son sens perspicace de l'analyse.Pour ce qui à trait aux arts du combat ainsi qu'à la volonté de se battre,il ne pense pas que c'est la loi du plus fort qui prévaut.Il n'aime pas particulièrement se battre,mais une fois lancé il tentera tout de même de se donner au maximum,autant pour sauver sa vie que dans le cadre d'un match amical.Il ne refusera jamais un duel,même s'il est totalement injustifié ou lancé de manière futile.


Histoire :

Ce fut un nourrisson qui naquit en mer,sur le navire de son père,nommé l'"Arpenteur".Ce grand voilier,bateau de commerce,fut a la fois son école et son terrain de jeu.Sa naissance en mer est la conséquence du fervent amour que se voué ses parents:sa mère ne supportait plus moralement la séparation que lui imposer les longs voyages et escale de son mari.Il demeura à bord de l'Arpenteur toute sa petite enfance,apprenant lire sur les cartes du navigateur et à compter dans les livres de compte de son père.Quand on mène une vie maritime,et que c'est tout ce que l'on connait depuis sa naissance,Toruno en vint a développer un profond respect pour cette étendue d'eau indomptée.C'était sa maison,ainsi que ce qui permettait de vivre à sa famille...et si souvent il entendait les hommes de l'équipage parlaient avec crainte des pirates,jamais il n'en vit l'ombre d'un seul.A cette époque bénie il ne pouvait s'en doutait,mais il devrait ironiquement attendre d'être sur la terre ferme pour en rencontrer.Toutefois,chaque péreiode heureuse devant connaitre une fin,il arriva un évènement funeste,qui devait le priver de sa famille proche.Alors qu'il parcourait les cartes maritimes dans sa cabine,sur le pont,il entendit une grande agitation provenir de l'extérieur.Puis ce fut rapidement des cris de terreur.La coque du bateau se mit a grincer,comme si elle devait supporter une importante pression.Apeuré par le gémissement du bois,il lâcha un petit cris craintif quand son père ouvrit la porte a la volée.Le teint livide et le sabre au clair,il pris Toruno par l'épaule,et le regarde dans le fond des yeux.Il parlait vite,d'une voix haché:

Écoute mon fils,tu ne va pas posé de question est obéir à ce que je vais te dire,est-ce bien clair?.
Comme pour ponctué la fin de sa phrase,l'on donna du canon sur le pont. Son père saisit son menton entre ses mains pour canaliser son attention.
Même si cela ne devrait pas se produire a si petite distance de la côte,nous sommes en train de subir l'assaut d'un monstre Marin. Il ne fait que tourner autour de la coque mon garçons, mais s'il décide de nous éperonner ,je ne donne pas cher de notre charpente de bois...Tu va prendre un canot,puis ramer jusqu'au port,une fois là bas,tu fera en sorte de nous envoyer des secours.Le canot ne contient que une place...tu saisis Toruno? Nous allons t'attendre le plus longtemps possible,mais tu dois te hâter.

Il n'entendit pas la suite. Dans une gerbe d'eau salée et de morceau de bois, le bateau fut démantibulé en quelque seconde.Le craquement des planches de la coque couvrait presque les cris des marins essayant de se raccrocher au bastingage.Quand il vit un tentacules visqueux,d'un rouge et jaune douteux, se glisser dans le reste de la cabine il ne put même pas crier.Pas un son ne sortit de sa bouche tellement le choc était grand. Toruno, se croyant perdus,ferma les yeux pour ne pas voir les bouches dentées qui parsemées le tentacules.Chacune s'ouvraient et se fermaient sans cesse,cherchant sans doute à happer de la chair passant à leur porté. Quand la situation devint insoutenables, le petit s'évanouit, se laissant aller dans le déluge d'écharde humides. Tout cela ne dura pas plus d'une minute, et il lui sembla qu'une autre minute s'était à peine écouler quand il se réveilla dans un lit stable, ferme. Comme à retardement,le hurlement sortit bien cette fois-ci de sa bouche gercée par le sel. Une main apaisante le plaqua doucement mais fermement sur le lit. Il reconnut l'odeur d'ale et du bois vernit de comptoir des mains de son oncle. S'abandonnant au sommeil,il comprit qu'il était sain est sauf. Longtemps,il s'interdit de penser de penser à son père bien-aimé et à sa mère chérie. Longtemps aussi, il éprouva un sentiment de honte vis vis de sa joie d'être vivant.

Depuis ce triste jour, Toruno travaillait comme marmiton dans l'auberge portuaire de son oncle,située dans la ville de Logue Town.Menant une vie médiocre,tranquille et à ses yeux sans intérêts, il en vint inconsciemment à développé une haine pour les pirates. Régulièrement,ces énergumènes dévastés l'auberge du Cornet à dé, procédés au passage à tabac d'honnêtes clients ou même de son oncle. La vie fut assez difficile, et servir ces brutes, pour la plupart violentes et sanguinaires devint vites un calvaire pour Toruno. Le sentiment de reconnaissance qu'il nourrissait envers son oncle Tokuno, qui lui fournissait le gîte et le couvert, lui permettait encore de supportait les coups et les brimades. Le point de non retour fut vite atteint pour le jeune homme frustré.

Suite à une beuverie sans nom,au petit matin,le quartier maître d'un équipage infligea un traitement humiliant,et ce sans aucune raison,à l'oncle Tokuno.Ce châtiment témoigné d'un sadisme pur,et d'une volonté de briser le caractère pourtant docile du vieil homme. Si ce dernier ne voulait pas se résoudre à fouetter son neveu,il verrait sa précieuse auberge partir en flammes.Toruno et son oncle se regardèrent longtemps,chacun conscient du poids que la confiance revêt chez un enfant,mais aussi de l'importance de protéger son gagne pain.Finalement,Tokuno infligea les dix coups de fouet demandés,ne pouvant pas se permettre de lésiné sur la force qu'il imprimé à la lanière de cuir,car sinon il courait le risque de mécontenter ce truand alcoolique.Il ne serait pas honnête de dire que l'enfant Toruno souffrit plus de la trahison de son oncle que des sévices corporels reçus,mais le marge des préjudices devait être bien ténue.Ne voyant plus qu'une solution,qu'un seul échappatoire à cette situation,il s'enfuit.Ce ne fut pas une décision murement réfléchit,mais il n'avait que ce choix pour ne pas devenir fou devant le rire grotesque que quartier maitre,et le fouet qui pendait mollement de la main de son oncle.

Même encore les souvenirs de cette période sont flous pour lui,comme si son inconscient avait volontairement occulter ce qui devait s'en suivre.Il vivota un moment de menus vols,de rapine,d'escroquerie.Il dormait dans la rue,son mental en permanence embrouillé comme s'il avait était abîmé par ce que Toruno se borné à appelait l'"incident".Il vint un jour qui devait lui fournir,en bien ou en mal,les moyens de rompre ce cycle malsain.Toruno fut donc une nuit réveillé par des râles humains s'échappant de la ruelle attenante à celle ou il se réfugiait pour dormir.Mût plus par la curiosité que par le souci d'aider son prochain dans le besoin,il se résolut donc à aller voir.Il y tomba sur un vieil homme,décharné,malmené autant par les ans que par des bandits,comme en témoigné les estafilades recouvrant ses bras,déchirants des bras de chemise.Presque mort et certainement agonisant,il pointa du doigt un sac de cuir grossier,d'une forme parfaitement sphérique,dépassé à peine d'une poubelle,comme si on avait voulut le dissimulé.Oublié la présence du vieillard blessé,il se dirigea vers le sac,et entrepris de l'ouvrir.Le blessé compris vite qu'il allait se faire dérobé le contenu de la besace,et aussi que le garnement en haillons se désintéressé bien vite de son salut.Il tenta de l'appeler a l'aide,mais ce ne fut que du silence et un filet de sang qui jaillit de sa bouche.Avec rage,trop faible pour détourner sa tête dégarnie,il dut assister au spectacle de l'enfant affamé croquant avec délice dans ce qui ressemblait à un conglomérats de poires violettes.Comme le sang dans sa bouche,un jus foncé coula le long du menton du gamin,occupé à se baffrer avec frénésie alors que la voix du mourant se répandit dans la ruelle.Loin d'être faible ou mal assurée,elle vibrait d'un ton inquiétant,puissante,menaçante:

"Toi qui préféra me dérober mon butin,au lieu de cherche à me rendre mon salut,à partir de ce jour tu connaîtras les pires déboires.Quoique tu fasses,ou que tu ailles,la malchance te poursuivra."

Toruno,qui avait pour ainsi dire oublié sa présence,le fixé désormais avec effroi,son corps parcourut de tremblements.Lorsque celui qui le maudis exulta en lâchant un dernier râle caverneux,il prit ses jambes à son cou.Il zigue-zagué dans les ruelles,reconnaissant a moitié son chemin,la lumière des lampadaires se diffusant mal à cause de l' étroitesse des ruelles.Le souffle court,il n'osait en aucun cas se retournait,et encore moins s'arrêter de fuir,ne serait-ce que pour réfléchir à la situation.Alors,quant au détour d'un carrefour réputé pour être malfamé,il sentit une grosse main calleuse enserrée son épaule,il ne put que hurler.
L'endroit déjà sombre devint noir comme l'intérieur d'un four quand on lui glissa la tête dans un sac.Il n'aurait pas dut se débattre,sans quoi il n'aurait pas reçut ce coup de matraque sur la coté du crane.Il se débattit encore un peu,frétillant comme un poisson manquant d'air,puis il s'évanouit.Du noir,une douleur confuse irradiant son cuir chevelus,puis le sentiment d'être balloté comme un vulgaire sac de pomme de terre.Il ne sut dire si cela dura une heure ou deux,mais il finit par se réveiller,dans une chaleureuse et réconfortante cellule de la caserne de marine...

L'homme devant lui,pour une raison qui lui échappait et qu'il ne devrait comprendre que par la suite,le rassuré.Il avait un visage dure,mais franc et paisible.La pipe en écume de mer qui dépassait de bouche en laissant échapper un filet de fumée odorante semblait attestait de son honnêteté.A ses pieds gisait sur le sol les restes du fruit violet que Toruno avait précédemment gouté.
On lui tint un long discours,disant en substance qu'on lui proposait une chance de vivre mieux,et qu'en fonction de son choix il pouvait cesser de vivre tout court.On lui dit qu'il avait volé un butin appartenant à un célèbre pirate sur le déclin,possesseur du fruit de la malchance.On lui dit qu'il avait jouer le rôle d'appât,voila pourquoi la malédiction bourdonnée maintenant au dessus de sa tête.On lui aussi que ce qu'il avait consommé aurait du revenir à un autre que lui.Même si l'officier de la Marine en face de lui s'adresser à un enfant,qui plus est un enfant perdu,désorienté,il n'eut pas de compassion visible.
Mais plus que tout,on lui fit comprendre qu'avec ce qu'il avait absorbé,il pouvait servir la marine,ou bien grossir le rang de ceux qu'elle combattait.

"Ecoute gamin,voyant tes habits et tes joues creuses,je ne peux que supposé que tu est un vagabond.Peut tu comprendre le dilemne devant lequel je me trouve?.Non,bien sûr...comment un garnement voleur comme toi le pourrait...
Si je te laisse partir ainsi,bientôt,tu voudra tenter ta chance pour ne plus avoir à une subir une existence aussi misérable que la tienne.Alors,que te resteras t-il?.Je vais te le dire,gamin.Comme la plupart tu voudras rejoindre un équipage de pirate.Tu commence à comprendre?.Le gamin que je relâcherais aujourd'hui pourrait devenir le pirate assoiffé de sang qui me poignarderas dans le dos dans une dizaine d'années.En plus,je serais doublement inconscient de te laisser partir avec ce qui ce trouve en ce moment dans ton estomac...j'espère que ce fruit était bon gamin,car l'avoir mangé risque de changer ton mode de vie.
Ou alors,il reste une troisième solution.La seule qui se trouve être honnête autant pour toi que pour moi.Pourquoi ne pas t'engager dans la Marine?.Pourquoi ne pas rejoindre les rang des vrais gentils?.Je sais ce que vous autres,les petits vaurien,vous pensez...mais un pirate n'est pas un gentleman vêtus de soieries,qui vole aux riche pour donner au pauvres,domptant la mer et ses mystères.Non mon petit,ce sont des criminels,sans scrupules,qui doivent être stoppés.Même toi,durant ta courte vie,tu as dut être témoins de l'un de leurs forfaits.
Allons petits,pourquoi ces larmes?.Je t'offre une famille,un avenir,ta liberté et une cause juste pour laquelle te battre..."

Alors,voulant vivre,et surtout voulant vivre pour défendre une cause,il dit "oui".