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 Vengeance en règles [missionn°1]

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Frère Karl
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Vengeance en règles [missionn°1] _
MessageSujet: Vengeance en règles [missionn°1]   Vengeance en règles [missionn°1] Icon_minitimeDim 19 Sep - 14:56

-Flash-back :

Et encore une bonne chose de faite ! Se disait Karl en quittant le petit village de Kitarô, un sourire satisfait peint sur son visage bruni par le soleil. Une goutte de sueur glissa le long de la tempe du jeune prêtre, rejoint son menton ou elle sa dandina quelques secondes au rythme de ses pas puis chuta et s’écrasa sur l’étroit chemin montagnard qu’arpentait Karl. Il suait et savait qu’il aurait rapidement besoin d’un bon bain et justement il connaissait un petit lac à l’ombre des platanes qui gardait sa fraîcheur même pas un temps aussi chaud. Car en effet depuis plusieurs mois la sécheresse assaillait le petit village de montagne et avait mis à sec le fleuve qui alimentait d’ordinaire les villageois en eau et leur permettait d’irriguer leurs cultures. C’est en apprenant ceci que l’esprit de générosité du prêtre s’est éveillé. Karl a pris le chemin de la montagne sous la chaleur écrasante du soleil pour venir aider les villageois. Villageois qui étaient bien mal en point à l’arrivée de leur bon samaritain, le manque de nourriture, la chaleur et les raids incessants des brigands avaient rendu ce village autrefois prospère à l’état de ruine ou vivent des hommes trop affaiblis ou trop peureux pour sortir de chez eux . Après avoir expliqué qu’il ne voulait de mal à personne, Karl entrepris de soigner les blessés, rétablir les plantations grâce à son pouvoir -qu’il commençait à maîtriser réellement bien cela dit en passant- ainsi qu’avec l’aide des hommes et femmes qu’il avait soignés de créer un conduit secondaire à partir de la source qui approvisionnerait en continu le village en eau et qui pourrait être fermé par un système de barrage coulissant lorsque le conduit principal remplirait à nouveau sa fonction . Et c’est après plusieurs semaines qu’un Karl fatigué mais heureux quitta le village pour aller se baigner plus loin dans la vallée et qu’il tomba nez à nez avec les brigands du coin. Quatre hommes, menés pas un colosse massif munis d’une hache de bûcheron entourée de barbelé l’interpellèrent sans grande amabilité.

-Tiens, regardez ce qu’on a là les gars, un prêtrillon ! Lança l’homme avec un sourire narquois. J’savais pas qu’y en avait chez ces péquenauds, et ben je pense qu’y va gentiment nous filler son pognon le chauve !

La menace de celui qui semblait le chef fut accompagnée des rires gras de ses hommes. Intérieurement Karl jura, il n’avait absolument pas envie de se battre et ne souhaitait pas qu’on le dérange dans ses projets de baignade. Mais avoir entendu le dirigeant de la troupe de voleurs parler du village l’amena à penser qu’il était de son devoir d’interdire à ces scélérats de recommencer leurs pillages. Il savait qu’il n’obtiendrait rien de types comme eux en leur demandant gentiment, mais il se devait d’essayer. Dans le pire des cas il était prêt à se battre, il était jeune et svelte et n’aurais aucun mal à vaincre ses balourds en nage. Même si il préférait ne pas en arriver là.

-Messieurs, j’ai entendu parler de vos exploits et je vous ordonne de retourner sur vos pas et de ne plus jamais prendre le chemin qui mène à Kitarô, ni même à un autre village tant que vos intentions seront mauvaises.

Le gros homme éclata de rire comme si Karl lui avait raconté une bonne blague puis se tut, fixa un regard plein de haine sur son interlocuteur et intima à ses homme de l’attaquer. Mais au moment même ou les hommes se mirent à charger, Karl murmura une prière et un frappa avec force dans un pan de pierre calcaire qui semblait vulnérable, bien vu, le coup fit s’écrouler quelques roches et un mur de poussière se dressa entre les deux factions, stoppant les pillards dans leur élan. Une fraction de seconde plus tard, le prêtre bondissait hors du nuage de sable, son bâton pris à deux mains, il pris appuis sur les épaules du colosse et fit rapidement volte face afin de le frapper à l’arrière du crâne. Ce dernier se retourna, envoyant Karl valser un peu plus loin, à seulement quelques centimètres du précipice, un rapide coup d’oeil avant de se relever et le jeune prêtre savait que la chute était à éviter à moins d’avoir une forte envie de ressembler à du vomi de roi des mers. Mais il y avait alors plus important que de réfléchir aux problèmes digestifs des monstres, un brigand plus rapide que ses compagnons était déjà sur Karl et tenta de séparer son torse de ses jambes. Fort heureusement pour le prêtre, il esquiva à temps en bondissant par dessus la tête de son assaillant qui réussit tant bien que mal à se stopper avant de plonger dans le vide . Mais avant qu’il puisse se retourner pour contre-attaquer, le prêtre lui faucha les jambes avec son bâton. Son cri de terreur résonna dans le ravin, puis un léger bruit, à peine audible et plus rien. Karl s’en voulut d’avoir tué cet homme mais il n’avait pas le choix, le brigand n’aurait pas eu autant de remords à sa place.
Trêve de bon sentiments, ces types étaient des tueurs et ils étaient déjà sur lui. Tant bien que mal, Karl esquivait les coups des trois hommes mais sans avoir le temps de contre-attaquer s’il ne voulait pas y laisser sa vie. Pour couronner le tout, un des trois pillards -un homme bedonnant- brisa son arme d’un puissant coup de poing et à force de reculer sous les assauts, ils se rapprochaient dangereusement du bord. Par chance une occasion inespérée se présenta, dans sa colère de ne pas pouvoir toucher sa cible, le dirigeant de la troupe frappa si fort que son arme resta figée dans le sol pendant quelques secondes. Seulement quelques secondes mais c’était amplement suffisant pour Karl. Il bondit sur le manche et envoya son pied dans le visage du colosse qui lâcha son arme et tomba à la renverse. Il gémit quand le jeune et svelte prêtre lui enfoncèrent son talon dans l’estomac mais gémit encore plus lorsque son corpulent collègue s’écrasa sur lui de tout son long. Pendant que ces deux incapables se débattaient avec la grâce d’un hippopotame obèse, leur troisième compère lança avec adresse une dague courte sur le gêneur qui bondit sur le coté pour éviter le projectile. Mais il ne fut pas assez rapide, la lame vint se planter dans le haut de sa cuisse. Lui arrachant un hurlement de douleur. Le lanceur de couteaux voyant qu’il avait fait mouche se déplaça nonchalamment vers sa cible recroquevillée au sol, et vu la vitesse des vêtements à avoir pris une teinte écarlate, la lame avait certainement tranché une artère.


-Alors ducon, on croit qu’on peut nous tenir tête ?

-Hur !

-Tu veut pas me répondre hein petit trou du cul ! Je te comprends, tu souffres, je pourrais t’achever là sur place et abréger ta douleur mais j’ai pas envie, et tu sais pourquoi ? Parce que le type que tu as jeté dans le vide et ben c’était mon frère alors je vais te laisser te vider de ton sang ici même mais comme tu risque de te relever, je vais t’aider à rester couché .

L’homme fit un grand sourire puis se mit à shooter dans Karl comme si c’était un vulgaire caillou qui restait encore un peu accroché dans la terre. A chaque coup, le prêtre poussait un gémissement de douleur. Les deux balourds observaient de loin la fureur de leur compagnon en train de torturer le jeune homme. Un coup dans le ventre, un autre, Karl luttait pour ne pas perdre connaissance puis le tortionnaire mit fin à ses attaques. Il se mit bien droit, les bras croisés, le soleil qui se couchait dans son dos le recouvrait d’une aura lugubre. Il fit un sourire béat, pris son élan avec une lenteur toute étudiée. Puis il ramena son pied vers le visage de Karl mais une fraction de seconde avant la collision, le prêtre saisit le pied de son bourreau. Celui-ci ne comprenait pas ce qui venait de se passer. Pourtant il hurla quand Karl planta ses dents dans son pied, il hurla quand le prêtre lui arracha un orteil avec les dents. Il hurla quand, d’un mouvement sec il fut projeté au sol. Mais il n’hurla plus, quand, d’un revers de la main, Karl se saisit de la dague plantée dans sa cuisse et lui trancha la gorge. A ce moment ce fut Karl qui hurla, un hurlement bestial, un hurlement de soulagement, et un hurlement d’horreur, d’horreur pour ces deux hommes qu’il avait tué, ses deux premiers meurtres, il n’avait pas 16 ans .

Après il ne se souvient plus bien, les deux derniers brigands avaient fuis, et il s’était traîné tant bien que mal jusqu’au petit village de Kitarô ou on l’avait soigné pendant un mois. En remerciement de tout ce qu’il avait fait pour eux.


-Fin du Flash-back

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MessageSujet: Re: Vengeance en règles [missionn°1]   Vengeance en règles [missionn°1] Icon_minitimeDim 19 Sep - 20:15

Mais pourquoi donc Karl se souvenait il de tout ça maintenant, pourquoi alors qu'il courait dans les rues de Logue Town se souvenait il d'une mésaventure qui lui était arrivée il y avait de ça plusieurs longues années ?

Souvenez vous, deux hommes ont fuis à la fin du combat, deux hommes que le destin n'allait pas gâter, l'un était mort dans une guerre de gang et le second, l'homme à la hache avait été châtié et rétrogradé par ses supérieurs pour ne pas avoir réussi à tenir tête à un gamin . De chef de bande sur une île paradisiaque, il avait fini dans les bas fonds de Logue Town où, un jour qu'il sortait du bureau de l'esclavagiste qui lui servait de patron, et accessoirement le dirigeant de la mafia du bas quartier est de la ville, Don Gjiani, un moine apparemment pressé le percuta de plein fouet . Il mit quelques secondes à se rappeler où est ce qu'il avait vu ce visage que la fatigue et l'ennui avait largement modifié, mais les yeux de jade ne trompaient pas et dans un élan triomphal le géant hurla : 

-Attrapez le !

Malgré les cheveux gris et les cicatrices, signes d'une vie ou l'alcool et la baston jouaient un rôle majeur, Karl avait reconnu le chef de bande des brigands de Kitarô . Mais malheureusement, malgré le temps que l'autre y avait mis, il réussit à stimuler sa mémoire et envoya ses collègues pourchasse le moine . Et ils étaient plus nombreux que la dernière fois, à chaque virage, à chaque coin de rue d'autres bandits se joignaient à la poursuite, si bien qu'ils furent bientôt plus de 30 à pourchasser le pauvre Karl . Et dire qu'il était venu ici pour soigner un vieillard malade ...
Mais bon, il se débrouillait assez bien, on tourne à droite, puis tout droit puis encore à droite, puis à gauche, puis ...

-Merde un cul de sac !

Karl fit volte face, des hommes armés jusqu'aux dents remplirent peu à peu la rue d'où il venait de déboucher, et la seule sortie envisageable . Au milieu d'entre les voleurs, un type massif se frayait un chemin jusqu'au premier rang, un type avec la stature d'un colosse et une hache barbelée .

-Comme on se retrouve prêtrillon, ça faisait un bail .

Fit l'homme avec un sourire . Karl le fixa droit dans les yeux, enfin dans l'œil, car l'orbite droit de l'homme marqué d'une longue cicatrice descendant jusqu'à la commissure des lèvres semblait vide de tout organe oculaire .

-Tiens, t'as perdu un morceau depuis la dernière fois ?

-Tu veut parler de mon œil ? C'est à cause de toi que je l'ai perdu ptit con, c'est ta faute ça, et tu sais quoi ? Je pense que c'est une excellent raison pour de descendre là tout de suite, pas toi ?

-Non, excuse moi mais moi j'y ai pas touché à ton œil, tu l'as perdu tout seul .

Discrètement Karl reculait, il avait repéré une échelle dans son dos par laquelle il pourrait rejoindre le premier étage du bâtiment adjacent d'où il pourrait s'enfuir, il n'aimait pas déranger les gens chez eux mais c'était ça ou la mort et il ne doutait pas qu'avec ce type se serait dans d'atroces souffrances .

-Oh si, c'est de ta faute si j'ai perdu mon œil, quand je suis revenu au QG avec deux hommes morts on m'a demandé ce qui c'était passé . J'ai d'abord nié ma défaite, raconté que des dizaines de guerriers nous avaient attaqués, mais tu sais ces types sont très forts pour te faire parler crois moi ... 
Donc je disais qu'il m'avaient forcé à parler et quand ils ont su la vérité, ils m'ont rétrogradé ici en prenant une petite précaution pour que je n'oublie pas ce qui arrivait aux faibles .

Soit l'homme ne voyait pas ce que Karl tentait de faire, soit il ne faisait rien pour l'en empêcher . Quoi qu'il en soit le stratagème semblait marcher . Il laissa le gros raconter sa vie . Celui ci pointa son orbite vide de son index et repris .

-Ces connards m'ont pris mon œil parce qu'un petit trou du cul de moine avait crevé deux de mes hommes, alors moi aussi je vais te prendre quelque chose, mais avec les années d'intérêt ça commence à faire beaucoup, je crois que ça donne ...

Le colosse fit semblant de compter sur ses doigts puis lança avec un air satisfait .

-Ta vie !

Il prit sa hache et ce fut ce moment là que Karl choisit pour réagir ...
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Don Gjiani était mécontent, ses hommes lui rapportaient beaucoup moins d'argent depuis quelques mois et des abrutis de marines l'empêchaient de bosser tranquillement . Et comme à son habitude quand il était contrarié il se curait les ongles avec une dague affutée, ce qui serait très dangereux si sa main dérapait et qu'il se coupait un doigt, mais heureusement il était très adroit et il y avait peu de chance que quelque chose la fasse sursauter, il était seul, au premier étage et ses hommes étaient trop couards pour oser ouvrir la porte sans frapper au préalable . En somme il était relativement hors de danger, mais il avait un mauvais pressentiment persistant depuis ce matin ce qui le poussait à observer coins et recoins de son entourage . Il entamait de se curer l'ongle du pouce gauche tout en passant en revue toute la pièce de son fauteuil . De la porte d'entrée au mur d'en face, Don Gjiani marqua un arrêt sur le fenêtre, la fixant pendant quelques secondes puis il retourna à ses occupations . Changeant de doigt, quand tout à coup une pluie de verre brisé traversa la pièce de long en large, la surprise fit déraper le vieux parrain et c'est un doigt ensanglanté qu'il pointa sur le moine qui se trouvait au milieu de cette tornade de verre en hurlant :

-Un intrus dans mon bureau, attrapez le !
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Le colosse à la hache s'assit dans la ruelle ou embaumait le parfum des vivres en décomposition avec un sourire puis il commença à pouffer et ne pouvant plus se retenir il explosa de rire . Ses hommes le regardèrent en silence pendant cinq-six minutes, le laissant à son orgie de bonheur, mais surtout, tous étaient éberlués devant l'attitude de leur meneur, l'homme qui leur avait trouvé une proie s'était tout simplement assis en souriant au moment ou celle ci lui avait filé entre les doigts . 
Au bout d'un moment, un brigand, plus audacieux 5ou plus suicidaire dieu seul le sait) que les autres posa la question qui brulait les lèvres de ses immondes compères :

-Dit moi pourquoi tu rigoles, le moine s'est cassé par la fenêtre, et on fera jamais le tour du bâtiment avant qu'il ...

-TA GUEULE CRETIN !

-Gloups

-Tu sais au moins c'est quoi ce bâtiment ?

L'homme fit non de la tête .

-Et ben crois moi, lui non plus . 
Puis le colosse éclata de rire à nouveau
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Tout se passait bien, enfin presque, mais ça c'était à cause du verre, Karl pensa qu'un jour il devrait peut être mettre des chaussures, si il voulait garder sa voute plantaire intacte . Mais ce n'était pas le problème actuel, car comme je le disais un peu plus haut, tout se passait bien jusqu'à ce que le gros type qui s'était coupé le doigt avait appelé de gardes à son secours, comme si Karl n'était qu'un vulgaire assassin venu commettre son méfait . Mais il n'en avait que faire lui du gros patron dans son fauteuil (dont la main gauche était recouverte de sang) .

Je disais donc, quand Karl comprit qu'il aurait mieux fait de passer par une autre fenêtre voir même un autre bâtiment, il passa par la porte sans prendre la peine d'utiliser la poignée ça va de soit puis il détala dans les couloirs recouverts de moquette pourpre (au moins ça amortissait la douleur de ses pieds criblés d'éclats de verre et puis comme ça on ne pouvait pas le suivre à la trace de sang) deux brutes type agent de sécurité le poursuivaient en lui tirant dessus, mais heureusement, la spécialité des brutes n'est pas la précision et il écopa seulement d'un légère blessure dans le bras . Mais comme précédemment, des hommes venaient de toutes part pour tenter de se saisir de lui et ils n'avaient toujours pas des intentions sympathiques à son égard . Au détour d'un couloir il repéra une porte qui menait sur les escaliers de secours, il poussa les battants d'une main et s'engouffra dans la descente en colimaçon . Au moment ou la porte de sortie fut en vue, des hommes surgirent par l'entrée qu'il avait prise quelques secondes plus tôt . Heureusement il s'élança vivement vers la porte qui s'ouvrit d'un coup en le repoussant dans les marches . Il vit un homme se pencher sur lui, il entendit qu'il discutait avec un de ses collègues, puis sous le contrecoup du choc, plus rien .

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Quand Karl se réveilla, il eut du mal à se souvenir de ce qui lui était arrivé, il venait soigner un vieil homme puis il avait rencontré un ancien ennemi . Il avait fuit et ... oui, ça lui revenait, les escaliers, la porte qui s'ouvre, la douleur à la tête . Douleur qui le lancinait encore remarqua t'il en y repensant . Mais avant toute chose, il devait identifier le lieu ou il se trouvait . Et la tache n'était pas aisée puisque la pièce était plongée dans le noir le plus total et sans source de lumière Karl mit un certain temps à s’adapter à l'obscurité . Quand il réussit à peu près à entrevoir des formes dans la pénombre, il remarqua qu'il n'était pas assis mais allongé, pieds et poings liés dans ce qui semblait être une cave à la vue de l'humidité et du sol de terre fraîche contre sa joue . D'un rapide mouvement il se redressa ce faible effort agit comme un coup dans son dos qui lui arracha un couinement de douleur . Apparemment les bandits ne lui avaient pas simplement claqué une porte en pleine face, ils s'étaient aussi occupés du reste de son corps avec minutie, à chaque mouvement de Karl tous ses membres criaient à la torture . Mais dans son malheur, un prêtre trouve toujours une once de bonheur . Et en ce moment pour Karl l'once de bonheur était cette terre qui constituait le sol de sa geôle, car qui dit terre dit plante et qui possède le pouvoir de contrôler les plantes dites moi ?
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