Pour gagner un peu d'argent... [Yû D. Konan- Black - Kenpachi]

Ah là vie en ville. Cela faisait maintenant plusieurs mois que j'étais rentré de mission pour les Révolutionnaires. J'effectuais actuellement une sorte de garde à Logue Town. Une surveillance. Je devais immédiatement prévenir mon supérieur direct si un officier supérieur venait poser le pied sur le sol de de la ville. Bien entendu, en plus d'être une tache interminable, elle était plus qu'ennuyeuse.
Je décidais alors d'aller faire un petit tour, pour la quatrième fois dans la journée. Le Brouhaha incessant de la ville avait des effets positifs sur moi, ca me calmait beaucoup. Sans doute était-ce l'habitude de la ville qui naissait en moi. Je ne réfléchis pas plus, profitant de ce moment de tranquillité. Je m'arrêtais parfois boire un verre de saké, ou d'un autre alcool un peu plus fort. Il m'arrivait même de rencontrer d'autres révolutionnaires en permission totale. Je discutais avec eux, mais secrètement, je maudissais les chefs suprêmes de m'avoir donné une mission comme celle-ci, alors qu'en plus, j'étais responsable du QG d'East Blue. Je faisait sans cesse du soucis pour les révolutionnaires basés là-bas, en grande partie parce que je ne les avait pas confié à des mains expertes, pensant rester tranquille dans mon trou... Bien entendu, le jour ou mes supérieurs hiérarchique m'avait donné cette mission, j'avais bien pensé à la déléguer, mais ils avaient prévu mon coup, et dès le premier jour de mission, mon homme c'était attrapé par un des leurs émissaires, qui m'avait ensuite préciser que je devais faire ce boulot en personne. Génial, avais-je pensé sur le coup.

Cela faisait maintenant plus d'une heure que je déambulait dans les rues, sans rien avoir à faire. Je m'assis donc à la terrasse d'un bar réputé avant de demander quelque chose à boire. Le serveur se dépêcha, et je sirotai alors tranquillement. Je me relevai pour aller payer au comptoir.

-Ah, pas mauvaise du tout cette chope de Saké, c'est combien ? Demandais-je poliment.

-Ca f'ra 60 Berrys. Me répondit le barman

Ouch, c'était assez cher, mais pour un endroit chic. Je sortis ma réserve d'argent, au moment ou je l'ouvris, je tressaillis. Tout ce qu'il restait à l'intérieur, c'était, au maximum quelque chose comme 5 B. Mon coeur accélera. Bom Bom.... Bom Bom et m* pensais-je.

-Excusez-moi. tentais-je. Je n'ai que 5 Berrys.

Le Barman me regarda en souriant :
-Ce n'est rien, ne t'en fait pas...

Deux colosses arrivèrent
-On a toujours besoin de monde à la plonge.

Mon visage perdit ses couleurs. Je décidai de lui montrer que j'étais un révolutionnaire, mais cela ne fit qu'empirer les choses, car je remarquai qu'il appuyait sur un bouton derrière le comptoir. Sans doute pour prévenir la marine. Me voilà bien maintenant me dis-je.
Et moi qui devait rester incognito. Je sortis du bar en courant, n'hésitant pas à pousser les tables, les serveurs... un peu tout le monde en fait. Un des colosses me barra l'entrée, je sortis un pistolet, il se dégagea aussitôt. Maintenant, il fallait trouver une cache, car j'entendais déjà le bruit des patrouilles de marins qui encerclaient la place. Je sautai à une échelle et tentai de m'enfuir par les toits.
Tout en courant, je me promis de donner le nom de cet établissement à la révolution, pour qu'ils le détruisent, sinon, je me jurai de le faire moi-même.

Je courrais sur les toits. Ca aussi c'était agréable, on sent bien l'air vous pénétrer et vous respirez. Je me remis à penser à un plan de fuite. La Nouvelle qu'il y avait un révolutionnaire connu en ville ne passerait sûrement pas inaperçu, ni par la Marine, ni par les Chasseurs de Primes, et encore moins par mes Chefs. Tandis que je courais, je sentis une balle passer à côté de moi : plusieurs marins me visaient depuis le sol. Je me ressaisis aussitôt : c'était peut-être sympa les toits, mais un homme qui cours au-dessus, c'est tout sauf inaperçu.
Je sentis une balle transpercer mon ventre. Décidément, certains soldats visaient bien. Une douleur fulgurante s'empara de mon corps avant de redisparaître aussi soudainement qu'elle était apparu. Je me remis à réfléchir : première chose, trouver un endroit où me cacher. Deuxième chose, informer mes supérieurs de la situation. Et là, j'y pensais : j'allais enfin accomplir ma mission. Après un événement comme celui-là, il tait hautement improbable que Marinford reste bras-croisés. Sans doute enverraient t'ils un vice-amiral débutant. J'aperçus enfin un moyen de descendre : il s'agissait de plusieurs bâches suspendues à quelques mètres du sol. Je sautai dessus avant de rebondir sur le sol. Je regardai autour de moi : j'étais encerclé par 7 marins. Gloups. Je sortis mon pistolet et en descendis 4. Les trois autres avaient évité les balles et étaient vraisemblablement des sous-officiers. Ils s'avancèrent très vite par moi. J'eus juste le temps de loger une balle dans un bras de l'un deux et d'en tuer un autre. Le dernier quant à lui, n'avaient pas été touché.Soudain, je remarquai l'étrange ressemblance de tous les hommes que j'avais tué. Argh, des clones, bon, ben là, je suis vraiment dans la m****.

L'homme se dédoubla plusieurs fois et tous les clones bougèrent ensemble. Il préparait sa retraite et laissait les clones me submerger par le nombre. Je repensai à mon fruit du démon. Pourquoi ne pas l'utiliser. Un petit Korouzu et c'était bon.

-Korouzu !

Un corps arriva vers moi, je sortis mon pistolet, mais avant que je ne le tue, il me dis :

-C'est peine perdue, à chaque fois que l'on me tue, un autre clone prend ma place si j'en ai créé un.

Et m**** pensais-je de nouveau. Je ne voulais pas me faire remarquer, mais maintenant que j'avais sorti Korouzu, j'allais devoir sortir le trou noir pour nettoyer.

-Mini Black Hole.

Une Ombre noire s'étala sous les pieds de mes adversaires, ils furent aspirés. Quelques secondes plus tard, j'utilisai la libération pour rejeter leurs corps sans vie. Normalement, j'avais tué tous les clones, je ne devais plus avoir de problème avec cet homme. Je courus vers la sortie de la ville, et réussi à sortir sans problème. (faut aussi dire que j'avais volé des vêtements de marins, ca aide). Je me cachai dans les bois, attendant le jour pour échaffauder un nouveau plan. Quand soudain j'aperçus...

[un homme qui s'appelait Yu Konan xD. Je te laisse faire la suite ]

Sa faisait déjà cent trente huit jours, quatre mois et demi, que j’étais arrivé sur Logue Town avec mon équipage. Et ce jour ci, je décidai d’aller faire un tour dans cette grande ville, ce qui est rare, car je détestai et je détesterai surement jusqu’à la fin de ma vie, l’oppression que la ville m’inflige. Voir tant de monde dans les rues, sentir leurs anxiétés sur leurs visages et tant d’autres sentiments humain que je n’apprécie guère.

Nous nous préparions, moi et Hoshi, mon bras droit ou mon majordome tout dépend comment on prend la chose, pour moi c’est plutôt mon ami, même si sans mentir, il m’était vraiment très utile. Je laissai Blanka dans la maison, l’homme bête qui est mon deuxième équipier, car je ne pensais vraiment pas qu’on passerait inaperçus avec lui. Après s’être préparé, nous descendions dans cette ville, qui est une ville les plus importantes pour les pirates. Logue Town, connu sous un autre nom “La ville ou tout commence et tout se termine“, ville qui a vu naitre un des hommes que je respectais le plus au monde, Gold D. Roger, le premier Seigneur des Pirates, mais c’était aussi la ville qui l’a vu pour la dernière fois, celle qui a sentit son dernier soupire. Une ville qui pour moi, ou tout pirate devrait poser une fois le pied sur cette terre.

Nous venions d’arriver en ville, nous passions voir la potence ou le Seigneur perdu la vie, mais aussi ou le deuxième Seigneur des Pirates Monkey D. Luffy à faillit perdre la tête. Après avoir passé une dizaine de minutes, nous décidions de faire les courses, car la nourriture partait assez vite avec des goulus comme nous. Tout en marchand, je me disais que c’était si bien de ne pas être connu dans cette ville, car étant pirate c’était dur de pouvoir se balader tranquillement. Mais je me disais aussi que ce n’était aussi pas très cool, car l’ennuie était en permanence à mes côtés. A part m’entrainer, moi et mes équipiers, pour encore être plus puissant, mais aussi une autre chose que j’adore boire du bon saké. Après avoir finis les courses, nous nous arrêtions dans un bar, boire une petite bouteille de saké pour la route.

Mais un petit problème survenu, il y avait un petit groupe, peut être des pirates qui sait, à part eux. Nous décidions de partir, sans causer de grabuge, car cela faisait presque cinq mois que nous étions dans cette ville et nous voulions toujours continuer de passer inaperçu. Mais tout ne ce passe pas comme nous voulions, ces trois hommes commencèrent à vouloir m’attaquer de front, mais ils furent très vite arrêté par Hoshi, qui ne laissait personne me toucher, tant que je ne lui donnais pas l’autorisation. En quelques mouvements les trois hommes étaient par terre, mais aujourd’hui c’était bizarre car il y avait un peu plus de marine en ville que d’habitude, peut être qu’il eut une bagarre autre part. Après fait ce petit remue ménage, nous décidions de rentrer vite à la maison pour ne pas être interpelé. Nous passions par toutes les petites ruelles, que Hoshi connaissait très bien, pour passer sans être vu.

Arrivant près de chez nous, je décidai de continuer à me promener tranquillement et demanda à Hoshi de rentrer voir Blanka si il n’avait pas tout cassé, car ça faisait quelques heures qu’il était resté seul et avant de partir il était assez agité. Pis surtout pour qu’il nous prépare un bon repas, car cette petite agitation me donna faim. J’arrivai dans les bois, c’était dans des endroits la que j’aimais passer quelques moments de mes journées. Car c’était calme, sans personne pour me gêner, je me posais sur un rondin et commençai à boire dans ma fiole de saké. Mais je sentais des présences près de moi, je me levai, descendis quelques mètres et la je vis deux personnes, un habillé en marine et une autre habillé normalement (Désolé Konan je ne sais pas comment tu es habillé). Je décidai de resté en retrait, en regardant cette scène de près car, ces personnes m’intriguent. Ils dégageaient quelques choses, que peu de gens dégageaient.